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Communiqué.
Notre mobilisation n'a pas été vaine :
tous les postes que nous demandions nous ont été accordés
par la mairie.
C'est aux efforts de chacun que revient le mérite de cette heureuse
conclusion : notre option en ressort plus solide , et plus solidaire.
Dans cette période de morosité, c'est un bon motif pour se réjouir.
La rentrée prochaine peut désormais s'imaginer et s'organiser sereinement.
Un grand merci à tous.
Guillaume Dégé
Philippe Delangle
Olivier Poncer
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samedi 5 juin 2010
mardi 16 mars 2010
mardi 9 mars 2010
dimanche 7 mars 2010
samedi 6 mars 2010
jeudi 4 mars 2010
Article
Bonjour. Je suis Félix en 3eme année illustration.
J'ai rencontré par hasard Robert Walter, directeur de la fondation, centre culturel franco- allemand de Karlsruhe, ainsi qu'acteur important pour l'illustration à Strasbourg ayant une certaine influence dans la presse.
Suite à notre entretien, il me dit qu'il va diffuser dans un journal, tiré à 3000 exemplaire un article sur les reformes se passant à l'école.
Il m'a alors demandé un article sur mon point de vue sur ce qu'il se passe RÉELLEMENT. Donc pas de spéculation vaseuses, car les rumeurs qu'il a entendue était partiellement fausses comparé à ce que l'on sait maintenant.
Je vous incite donc aussi à lui écrire votre point de vue.
Je pense que l'on à tous des avis différent sur la question, il serait important de les mettre à plat.
Merci.
Les articles et les dessins sont aussi bienvenus.
Envoyez votre article/ dessin au mail du blog pour que je puisse ensuite lui envoyer.
J'ai rencontré par hasard Robert Walter, directeur de la fondation, centre culturel franco- allemand de Karlsruhe, ainsi qu'acteur important pour l'illustration à Strasbourg ayant une certaine influence dans la presse.
Suite à notre entretien, il me dit qu'il va diffuser dans un journal, tiré à 3000 exemplaire un article sur les reformes se passant à l'école.
Il m'a alors demandé un article sur mon point de vue sur ce qu'il se passe RÉELLEMENT. Donc pas de spéculation vaseuses, car les rumeurs qu'il a entendue était partiellement fausses comparé à ce que l'on sait maintenant.
Je vous incite donc aussi à lui écrire votre point de vue.
Je pense que l'on à tous des avis différent sur la question, il serait important de les mettre à plat.
Merci.
Les articles et les dessins sont aussi bienvenus.
Envoyez votre article/ dessin au mail du blog pour que je puisse ensuite lui envoyer.
mercredi 3 mars 2010
lundi 1 mars 2010
samedi 27 février 2010
Où allons nous ? Le programme
À tous, et toutes,
Comme annoncé, il n’y aura aucun cours en option communication du 2 au 5 mars 2010 mais
toute une palette d’ateliers transversaux.
Voici le détail de nos propositions pour cette semaine de réflexion et d’action baptisée :
« où allons-nous ? ».
Réfléchissez à l’atelier dans lequel vous souhaitez vous impliquer. Préparez idées et
documentations afin d’engager les projets dès mardi avec la plus belle énergie.
Le mardi de 8 h 30 à 12 h 30, nous vous invitons tous (enseignants et étudiants) à une réunion générale en salle 5 du rez-de-chaussée de l’annexe sur le projet de l’option communication et l’intégration des réformes en cours.
À l’issue de cette réunion, les ateliers seront présentés et les différents groupes de travail constitués (mélangeant les trois ateliers de communication graphique, de didactique visuelle et d’illustration).
Les ateliers se dérouleront sur le mardi, le mercredi, le jeudi et le vendredi.
(Chaque soir à 18 h 30, des rapporteurs des différents ateliers témoigneront des travaux de la journée.)
Jeudi et vendredi de 14 h à 15 h 30 des petits groupes de travail représentant les trois ateliers de l’option se réuniront sur la question de la recherche (dans la perspective de la constitution du dossier pour l’AERES).
Voici la description des 9 ateliers proposés par les enseignants.
Cet ensemble est un cadre ouvert à investir par les étudiants, toutes les autres propositions sont bienvenues, tout reste à inventer pour trouver notre voix.
Les enseignants de l’option communication.
Atelier 1
Dans la ville.
Workshop d'une journée ou deux. Ouvert à tous. La lutte des arts décos investit la ville. Il s'agira d'imaginer, puis de construire et de photographier, des installations à base de dessins-typos-pictos qui s'intégreront à l'espace public de Strasbourg. Les mélanges 2D-3D, la réalisation avec des matériaux trouvés in situ, ressourcer sa création en changeant de lieu, d'outil et d'échelle... Bref
inscrire éphémèrement nos préoccupations dans Strasbourg. Définir une thématique (la
démolition, la fausseté du « dialogue social dans l'école », cela se décidera au fur et à mesure de la semaine je crois). Un dénominateur commun devra être trouvé à toutes les « oeuvres ». Des témoignages photo seraient conservés et pourraient s'insérer dans un support de publication ou être exposés.
Documentation : E. Pignon-Ernest, Blu, Little people in the city, Banksy, le situationnisme, l'agitprop.
– Lancement de la proposition avec Gaétan Dorémus, Salomé Rissler, Yvan Freund, mardi de 12 h 30 à 14 h.
– Gaétan Dorémus jeudi matin et vendredi.
– Salomé Rissler jeudi matin et vendredi matin.
– Yvan Freund jeudi et vendredi.
Atelier 2
Lexique visuel de la réforme.
Atelier de réappropriation de la langue de la réforme. Workshop ouvert à tous. En partant des déclarations de la direction, des textes cadrant les réformes en cours, des directives diverses, nous tenterons de rendre concret et amusant la froideur du discours technocrate et la fable de l'option enfant trop gâté qu'il nous conte. Nous nous jouerons des termes qui invitent chacun à l'abdication, au renoncement, à la paresse intellectuelle et combative. Comment sous des atours sérieux et techniques peut se cacher une réalité peu acceptable. Ainsi nous pourrions nous amuser à mettre les termes « phase », « projet », « programme », « compression des effectifs », à toutes les sauces. À noter que ce type de réponse est déjà entamé sur le blog par certains étudiants. Ces travaux pourraient faire l'objet d'une publication sous forme d'abécédaire.
Documentation : LQR, E. Hazan, éditions La Fabrique. Médiatiquement correct, F. Brune,
éditions Parangon.
– Guillaume Dégé, mardi, mercredi, jeudi, vendredi.
– Gaétan Dorémus, jeudi après-midi.
– Olivier Deloignon, jeudi après-midi.
– Vivien Philizot.
– Toffe, jeudi et vendredi.
Atelier 3
Le graphisme, qu’est-ce que c’est ?
Réponse sur deux jours au concours d’affiche de Chaumont avec des étudiants des différents ateliers et années.
http://static.pyramyd.com/public/WEB/chaumontconcours2010/Formulaire.pdf
– Philippe Delangle, jeudi et vendredi.
– Toffe, jeudi et vendredi.
Atelier 4
Chaumont : quelques questions non subsidiaires.
La culture qu’est-ce que c’est ? Un auteur, qu’est-ce que c’est ? l’engagement qu’est-ce que c’est ?
Enquête sur la lisibilité, les idées reçues, l'image des métiers de la création graphique dans et audehors de l'école... Des visuels, compositions graphiques et typographiques seront produits à partir des réponses recueillies.
Certains des « portraits » ainsi réalisés pourront faire l’objet d’une publication « papier » ou sur le site Internet dédié : « ouallonsnous-esads.fr ».
– Lancement de la proposition avec Vivien Philizot et Olivier Poncer, mardi de 12 h 30 à 14 h.
– Vivien Philizot, , jeudi après-midi et vendredi toute la journée.
– Olivier-Marc Nadel, jeudi après-midi et vendredi toute la journée.
– Guillaume Dégé, mardi, mercredi, jeudi, vendredi.
– Olivier Poncer, mercredi, jeudi et vendredi.
Atelier 5
Création du site « ouallonsnous-esads.fr »
Création du site Internet qui regroupera l'ensemble des actions produites durant cette semaine.
Cela permettra de donner une vision globale à un endroit donné. Ce site pourra inclure tout type de contenu comme des galeries d'images, de vidéos, etc.
Au-delà des étudiants un peu aguerris aux techniques du Web, il serait intéressant d’associer des étudiants maîtrisant les approches rédactionnelles.
– André Bihler, mardi, jeudi, vendredi (le mardi sera consacré à la mise en place du site).
Atelier 6
Le pavé dans la mare.
Recherche et production de moyens non-conventionnels et/ou à faible budget.
Atelier de papier de colle, de création d’images et de textes d'accroche…
Parmi les possibilités : fabriquer des « pavés » avec des messages associés afin qu'ils soient envoyés à des cibles bien précises (personnalités, institutionnels, éditeurs, directeurs artistiques,producteurs…), ces derniers pourront les retourner à nos tutelles et responsables…
– Pierre Roesch, jeudi (à partir de 10 h) et vendredi.
– Guy Meyer, vendredi.
Atelier 7
Où allons-nous ? Réponses à main levée…
Le jeu est le suivant :
1/ Avoir une idée de réponse à la grande question « Où allons-nous ? » (Sans
idée, point de salut !), soit en texte, soit en formes dessinées à animer.
2/ Monter à l’Atelier d’Animation et la réaliser en improvisation animée image
par image 2D sous la petite caméra fixe, dans un cadre ne dépassant pas le A4.
Ça se fera sur rhodoïd posé sur un fond d’une teinte au choix, au moyen de
feutres non permanents ou de peinture à l’huile. L’atelier fournit le rhodoïd,
la peinture, les feutres..
On peut apporter son matériel et son manger.
Chaque animation devra être effectuée en un temps record pour permettre au plus
grand nombre de s’exprimer. L’idée est de partir d’une idée forte exprimée sur
une surface réduite.
3/ Cette suite d’improvisations animées serait montée et rythmée, sur une bande
musicale produite par la fanfare. ( Un bon enregistrement sera à réaliser ). Le
résultat pourra être balancé sur YouTube à la face de la terre entière.
4/ L’atelier sera ouvert mardi et mercredi toute la journée (avec juste une
courte interruption le mercredi matin pour un tournage prévu de longue date). Si
les idées affluent en trop grand nombre, je me débrouillerai pour venir
également la journée de jeudi et vendredi matin.
– Henri Muller, mardi et mercredi.
Atelier 8
Exécution d'images en place de grève générale.
Des images sont exécutées sous l'oeil de la plèbe, en place Kléber.
Dispositif : une caméra montée sur banc, un vidéoprojecteur, du matériel de sonorisation pour un ou plusieurs musiciens accompagnateurs, et/ou un commentateur, une rallonge électrique branchée chez le marchand de bonbons, etc.
La table de travail est installée à couvert près de l'entrée de la FNAC. Les illustrateurs-graphistes se relaient, et fabriquent des images en temps réel.
L'image projetée et les musiciens sont placés :
– s'il fait beau : au-delà de la voie de tram (projection sur un drap tendu entre deux arbres, ou écran déroulant). L'image, le temps d'un tram, sera donc projetée sur support mouvant ;
– s'il fait moche : à couvert aussi (projection sur écran déroulant).
Prévisions météo : froid et soleil, donc ça peut le faire !
Tout pourra donc être enregistré et ainsi alimenter le site Web créé pour l'occasion.
Élaboration sous forme de workshop :
Toute la journée du mercredi et jeudi matin, 3 workshops en parallèle :
– workshop écriture : pondre des textes qui pourront être dits ou chantés, et serviront de déclencheurs aux images ;
– workshop écriture musicale : mise en musique des précédents textes, élaboration du programme musical ;
– workshop entraînement de combat : imaginer les images qui seront faites le soir, les répéter avec le dispositif vidéo en place. Ces images pourront aussi inspirer des textes.
Le jeudi :
– le matin : fin des workshops ;
– le milieu d’après-midi : installation ;
– le soir, performance de 18H à 22H.
– Lancement de la proposition avec Finzo, mardi de 12 h 30 à 14 h.
– Finzo, mercredi et jeudi.
Atelier 9
Le petit rapporteur.
Tournage sur le mode reportage qui couvrira les actions qui se dérouleront à l'école le jeudi et
montage des rushs le vendredi.
– Jérôme Thomas, jeudi et vendredi
Comme annoncé, il n’y aura aucun cours en option communication du 2 au 5 mars 2010 mais
toute une palette d’ateliers transversaux.
Voici le détail de nos propositions pour cette semaine de réflexion et d’action baptisée :
« où allons-nous ? ».
Réfléchissez à l’atelier dans lequel vous souhaitez vous impliquer. Préparez idées et
documentations afin d’engager les projets dès mardi avec la plus belle énergie.
Le mardi de 8 h 30 à 12 h 30, nous vous invitons tous (enseignants et étudiants) à une réunion générale en salle 5 du rez-de-chaussée de l’annexe sur le projet de l’option communication et l’intégration des réformes en cours.
À l’issue de cette réunion, les ateliers seront présentés et les différents groupes de travail constitués (mélangeant les trois ateliers de communication graphique, de didactique visuelle et d’illustration).
Les ateliers se dérouleront sur le mardi, le mercredi, le jeudi et le vendredi.
(Chaque soir à 18 h 30, des rapporteurs des différents ateliers témoigneront des travaux de la journée.)
Jeudi et vendredi de 14 h à 15 h 30 des petits groupes de travail représentant les trois ateliers de l’option se réuniront sur la question de la recherche (dans la perspective de la constitution du dossier pour l’AERES).
Voici la description des 9 ateliers proposés par les enseignants.
Cet ensemble est un cadre ouvert à investir par les étudiants, toutes les autres propositions sont bienvenues, tout reste à inventer pour trouver notre voix.
Les enseignants de l’option communication.
Atelier 1
Dans la ville.
Workshop d'une journée ou deux. Ouvert à tous. La lutte des arts décos investit la ville. Il s'agira d'imaginer, puis de construire et de photographier, des installations à base de dessins-typos-pictos qui s'intégreront à l'espace public de Strasbourg. Les mélanges 2D-3D, la réalisation avec des matériaux trouvés in situ, ressourcer sa création en changeant de lieu, d'outil et d'échelle... Bref
inscrire éphémèrement nos préoccupations dans Strasbourg. Définir une thématique (la
démolition, la fausseté du « dialogue social dans l'école », cela se décidera au fur et à mesure de la semaine je crois). Un dénominateur commun devra être trouvé à toutes les « oeuvres ». Des témoignages photo seraient conservés et pourraient s'insérer dans un support de publication ou être exposés.
Documentation : E. Pignon-Ernest, Blu, Little people in the city, Banksy, le situationnisme, l'agitprop.
– Lancement de la proposition avec Gaétan Dorémus, Salomé Rissler, Yvan Freund, mardi de 12 h 30 à 14 h.
– Gaétan Dorémus jeudi matin et vendredi.
– Salomé Rissler jeudi matin et vendredi matin.
– Yvan Freund jeudi et vendredi.
Atelier 2
Lexique visuel de la réforme.
Atelier de réappropriation de la langue de la réforme. Workshop ouvert à tous. En partant des déclarations de la direction, des textes cadrant les réformes en cours, des directives diverses, nous tenterons de rendre concret et amusant la froideur du discours technocrate et la fable de l'option enfant trop gâté qu'il nous conte. Nous nous jouerons des termes qui invitent chacun à l'abdication, au renoncement, à la paresse intellectuelle et combative. Comment sous des atours sérieux et techniques peut se cacher une réalité peu acceptable. Ainsi nous pourrions nous amuser à mettre les termes « phase », « projet », « programme », « compression des effectifs », à toutes les sauces. À noter que ce type de réponse est déjà entamé sur le blog par certains étudiants. Ces travaux pourraient faire l'objet d'une publication sous forme d'abécédaire.
Documentation : LQR, E. Hazan, éditions La Fabrique. Médiatiquement correct, F. Brune,
éditions Parangon.
– Guillaume Dégé, mardi, mercredi, jeudi, vendredi.
– Gaétan Dorémus, jeudi après-midi.
– Olivier Deloignon, jeudi après-midi.
– Vivien Philizot.
– Toffe, jeudi et vendredi.
Atelier 3
Le graphisme, qu’est-ce que c’est ?
Réponse sur deux jours au concours d’affiche de Chaumont avec des étudiants des différents ateliers et années.
http://static.pyramyd.com/public/WEB/chaumontconcours2010/Formulaire.pdf
– Philippe Delangle, jeudi et vendredi.
– Toffe, jeudi et vendredi.
Atelier 4
Chaumont : quelques questions non subsidiaires.
La culture qu’est-ce que c’est ? Un auteur, qu’est-ce que c’est ? l’engagement qu’est-ce que c’est ?
Enquête sur la lisibilité, les idées reçues, l'image des métiers de la création graphique dans et audehors de l'école... Des visuels, compositions graphiques et typographiques seront produits à partir des réponses recueillies.
Certains des « portraits » ainsi réalisés pourront faire l’objet d’une publication « papier » ou sur le site Internet dédié : « ouallonsnous-esads.fr ».
– Lancement de la proposition avec Vivien Philizot et Olivier Poncer, mardi de 12 h 30 à 14 h.
– Vivien Philizot, , jeudi après-midi et vendredi toute la journée.
– Olivier-Marc Nadel, jeudi après-midi et vendredi toute la journée.
– Guillaume Dégé, mardi, mercredi, jeudi, vendredi.
– Olivier Poncer, mercredi, jeudi et vendredi.
Atelier 5
Création du site « ouallonsnous-esads.fr »
Création du site Internet qui regroupera l'ensemble des actions produites durant cette semaine.
Cela permettra de donner une vision globale à un endroit donné. Ce site pourra inclure tout type de contenu comme des galeries d'images, de vidéos, etc.
Au-delà des étudiants un peu aguerris aux techniques du Web, il serait intéressant d’associer des étudiants maîtrisant les approches rédactionnelles.
– André Bihler, mardi, jeudi, vendredi (le mardi sera consacré à la mise en place du site).
Atelier 6
Le pavé dans la mare.
Recherche et production de moyens non-conventionnels et/ou à faible budget.
Atelier de papier de colle, de création d’images et de textes d'accroche…
Parmi les possibilités : fabriquer des « pavés » avec des messages associés afin qu'ils soient envoyés à des cibles bien précises (personnalités, institutionnels, éditeurs, directeurs artistiques,producteurs…), ces derniers pourront les retourner à nos tutelles et responsables…
– Pierre Roesch, jeudi (à partir de 10 h) et vendredi.
– Guy Meyer, vendredi.
Atelier 7
Où allons-nous ? Réponses à main levée…
Le jeu est le suivant :
1/ Avoir une idée de réponse à la grande question « Où allons-nous ? » (Sans
idée, point de salut !), soit en texte, soit en formes dessinées à animer.
2/ Monter à l’Atelier d’Animation et la réaliser en improvisation animée image
par image 2D sous la petite caméra fixe, dans un cadre ne dépassant pas le A4.
Ça se fera sur rhodoïd posé sur un fond d’une teinte au choix, au moyen de
feutres non permanents ou de peinture à l’huile. L’atelier fournit le rhodoïd,
la peinture, les feutres..
On peut apporter son matériel et son manger.
Chaque animation devra être effectuée en un temps record pour permettre au plus
grand nombre de s’exprimer. L’idée est de partir d’une idée forte exprimée sur
une surface réduite.
3/ Cette suite d’improvisations animées serait montée et rythmée, sur une bande
musicale produite par la fanfare. ( Un bon enregistrement sera à réaliser ). Le
résultat pourra être balancé sur YouTube à la face de la terre entière.
4/ L’atelier sera ouvert mardi et mercredi toute la journée (avec juste une
courte interruption le mercredi matin pour un tournage prévu de longue date). Si
les idées affluent en trop grand nombre, je me débrouillerai pour venir
également la journée de jeudi et vendredi matin.
– Henri Muller, mardi et mercredi.
Atelier 8
Exécution d'images en place de grève générale.
Des images sont exécutées sous l'oeil de la plèbe, en place Kléber.
Dispositif : une caméra montée sur banc, un vidéoprojecteur, du matériel de sonorisation pour un ou plusieurs musiciens accompagnateurs, et/ou un commentateur, une rallonge électrique branchée chez le marchand de bonbons, etc.
La table de travail est installée à couvert près de l'entrée de la FNAC. Les illustrateurs-graphistes se relaient, et fabriquent des images en temps réel.
L'image projetée et les musiciens sont placés :
– s'il fait beau : au-delà de la voie de tram (projection sur un drap tendu entre deux arbres, ou écran déroulant). L'image, le temps d'un tram, sera donc projetée sur support mouvant ;
– s'il fait moche : à couvert aussi (projection sur écran déroulant).
Prévisions météo : froid et soleil, donc ça peut le faire !
Tout pourra donc être enregistré et ainsi alimenter le site Web créé pour l'occasion.
Élaboration sous forme de workshop :
Toute la journée du mercredi et jeudi matin, 3 workshops en parallèle :
– workshop écriture : pondre des textes qui pourront être dits ou chantés, et serviront de déclencheurs aux images ;
– workshop écriture musicale : mise en musique des précédents textes, élaboration du programme musical ;
– workshop entraînement de combat : imaginer les images qui seront faites le soir, les répéter avec le dispositif vidéo en place. Ces images pourront aussi inspirer des textes.
Le jeudi :
– le matin : fin des workshops ;
– le milieu d’après-midi : installation ;
– le soir, performance de 18H à 22H.
– Lancement de la proposition avec Finzo, mardi de 12 h 30 à 14 h.
– Finzo, mercredi et jeudi.
Atelier 9
Le petit rapporteur.
Tournage sur le mode reportage qui couvrira les actions qui se dérouleront à l'école le jeudi et
montage des rushs le vendredi.
– Jérôme Thomas, jeudi et vendredi
mercredi 24 février 2010
Rappel: 12h 30 demain AG au 3 eme étage annexe pour organiser le workshop
WORKSHOP inter-option
OÙ ALLONS-NOUS ? (titre provisoire)
La semaine du 2 au 5 mars sera une semaine de réflexion et d’action tournée vers l’extérieur.
Quelques hypothèses de travail :
– Quelle école voulons-nous ?
– Dans quel contexte plus général se posent les actuelles propositions de réformes ?
– Dans quelle réalité (professionnelle, sociale…) s’inscrivent nos métiers ?
…
Quelques pistes d’action :
– Workshops dont le résultat pourrait être exposé.
– Publications (affiches, fanzines, blogs…).
– Concerts.
– Invitations d’établissements qui adossent leurs formations sur nos ateliers
– Réponse au concours d'affiches de Chaumont "Le graphisme, qu'est ce que c'est ?"
…
Cette semaine résolument transversale sera gérée et organisée par toutes et de tous : étudiants, techniciens (TEA), enseignants.
Que chacun réfléchisse à des actions collectives et/ou individuelles ainsi qu’aux modalités pratiques d’organisation.
Le jeudi 25 février à 12 h, une assemblée générale est prévue à l'étage Didactique Visuelle/Illustration.
Un pré-programme sera communiqué aux médias au sortir de cette AG puis relayé par le biais d'affichages dans la ville et sur Internet.
Afin de nous organiser au mieux, nous vous proposons d'envoyer vos idées détaillées par mail avant la rentrée
à l'adresse suivante : ouallonsnous@laposte.net
Bonnes vacances à tous.
Faites le plein d’énergie.
Les enseignants de l'option communication
OÙ ALLONS-NOUS ? (titre provisoire)
La semaine du 2 au 5 mars sera une semaine de réflexion et d’action tournée vers l’extérieur.
Quelques hypothèses de travail :
– Quelle école voulons-nous ?
– Dans quel contexte plus général se posent les actuelles propositions de réformes ?
– Dans quelle réalité (professionnelle, sociale…) s’inscrivent nos métiers ?
…
Quelques pistes d’action :
– Workshops dont le résultat pourrait être exposé.
– Publications (affiches, fanzines, blogs…).
– Concerts.
– Invitations d’établissements qui adossent leurs formations sur nos ateliers
– Réponse au concours d'affiches de Chaumont "Le graphisme, qu'est ce que c'est ?"
…
Cette semaine résolument transversale sera gérée et organisée par toutes et de tous : étudiants, techniciens (TEA), enseignants.
Que chacun réfléchisse à des actions collectives et/ou individuelles ainsi qu’aux modalités pratiques d’organisation.
Le jeudi 25 février à 12 h, une assemblée générale est prévue à l'étage Didactique Visuelle/Illustration.
Un pré-programme sera communiqué aux médias au sortir de cette AG puis relayé par le biais d'affichages dans la ville et sur Internet.
Afin de nous organiser au mieux, nous vous proposons d'envoyer vos idées détaillées par mail avant la rentrée
à l'adresse suivante : ouallonsnous@laposte.net
Bonnes vacances à tous.
Faites le plein d’énergie.
Les enseignants de l'option communication
mardi 23 février 2010
fait de chiffre
A propos des effectifs étudiants:
Extrait du démenti du 15 /02/10
S’agissant de l’Ecole supérieure des arts décoratifs de Strasbourg et après étude du contexte budgétaire actuel et des contraintes spatiales, la proposition de la direction serait de stabiliser progressivement la totalité de l’effectif étudiant à 400 inscrits environ, entre la première et la cinquième année.
soit :
- 65 à 70 étudiants (maximum) en année 1
- 65 à 70 étudiants (maximum) en option Art, années 2 et 3 + années 4 et 5
- 130 à 140 étudiants (maximum) en option Communication, années 2 et 3 + années 4 et 5
- 65 à 70 étudiants (maximum) en option Design, années 2 et 3 + années 4 et 5
- 65 à 70 étudiants (maximum) en option Objet, années 2 et 3 + années 4 et 5
auxquels s’ajoutent les étudiants-stagiaires du CFPI – Centre de formation pour artistes intervenants (10 à15) et l’intégration, à moyen terme à partir de 2012, d’étudiants diplômés au grade de master qui souhaiteraient s’engager dans un troisième cycle.
Effectifs actuel :
- Année 1 : 70
- Année 2 : 70
- Communication (3,4,5) : 152
- Objet (3,4,5) 55
- Art (3,4,5) 69
- Design (3,4,5) 54
___
Total 470
Sans les étudiants du CFPI : 10 à 15
Effectif prévu d’après le démenti :
Fourchette basse :
65 + 65 + 130 + 65 + 65 + 10 du CFPI = 400 élèves ( chiffre qui nous à était présenté à 2 reprise comme maximum plutôt que comme un minimum)
Fourchette haute ( 400 environ ?) :
70+ 70 + 140 + 70 + 70 + 15 du CFPI = 435 élèves
Le « 400 environ » veut donc dire ici, à 35 près environ.
Quelle est la définition de environ ?
Effectifs prevu :
Dans le compte rendu du 5 / 01 / 10
Année 1 70 à 75
Communication (2,3 et 4,5) 130 dont 28 étudiants d’année 2
(moyenne sur les 4 dernières années)
Objet (2,3 et 4,5) 65 dont 22 étudiants d’année 2
(moyenne sur les 4 dernières années)
Art (2,3 et 4,5) 65 dont 12 étudiants d’année 2
(moyenne sur les 4 dernières années)
Design (2,3 et 4,5) 65 dont 15 étudiants d’année 2
(moyenne sur les 4 dernières années)
________
Total 400 environ
Projection à partir du compte rendu du 5 / 01 / 10 en incluant le démenti du 15/02/10
Année 1: 65
Communication (2,3 et 4,5) 130 dont 28 étudiants d’année 2
(moyenne sur les 4 dernières années)
Objet (2,3 et 4,5) 65 dont 22 étudiants d’année 2
(moyenne sur les 4 dernières années)
Art (2,3 et 4,5) 65 dont 12 étudiants d’année 2
(moyenne sur les 4 dernières années)
Design (2,3 et 4,5) 65 dont 15 étudiants d’année 2
(moyenne sur les 4 dernières années)
CFPI 10
________
Total 400
ECHANGE ( extrait du compte rendu du 05/01/10 signé par le directeur et des délégués élèves)
« Les intégrations en cours de cursus par voie d’équivalence ou d’admission en 2ème et 4ème années seront plus limitées pour toutes les options. »
Extrait du démenti du 15 /02/10
L’option Communication aurait donc à maîtriser un effectif de l’ordre du double de celui qu’aurait à accompagner chacune des autres options : soit 130 à 140 étudiants de l’année 2 à l’année 5.
Sur l’effectif de l’option communication (avant après)
Aujourd’hui
- 152 (3°,4°,5°) + 28 (2°) = 180 étudiants
demain
- 102 (3°,4°,5°) + 28 ( 2°) = 130 étudiants
pour info :
Cet année en 3 eme années : 20 en illustration, 18 en communication graphique et 13 en didactique
soit 51 en communication en com année 3
Hypothèse sur le futur 1
Condition :
1 Tout ceux qui font Com en 2 ° année se retrouvent en Com en 3° années.
2 L’école doit rester à un effectif constant de 400, ce qui est d’après le directeur la capacité maximum d’accueil de l’école
130 – (28 (2°) + 28 °( 3°)) = 74
74 / 2 (4°+5°) = 37
Année 2 :
28 ( diviser strictement en 3 ateliers : 9,3)
Année 3 (DNAP) :
28 ( diviser strictement en 3 ateliers : 9,3)
Année 4 :
37 ( diviser strictement en 3 ateliers : 12,3)
Année 5 (DNSEP) :
37 ( diviser strictement en 3 ateliers : 12,3)
_____
total 130
Donc il faudrait prendre 9 élève en équivalence pour la 4° années chaque années .
Ce qui selon le compte rendu du 05 /O1 /10 n’est pas trop à l’ordre du jour :
« Les intégrations en cours de cursus par voie d’équivalence ou d’admission en 2ème et 4ème années seront plus limitées pour toutes les options. »
La deuxieme chose est la plus grande sélection voulue après le DNAP :
Sur le compte rendu de la réunion du 05 / 01 /10
L’étudiant en fin de « phase programme » (fin de 3ème année, une fois obtenu son DNAP) devra présenter des indices sur ce qu’il propose de développer en « phase projet » ; c’est à ce moment que serait décidé si le projet de l’étudiant peut être mené dans les meilleures conditions à l’ESADS (en 4ème et 5ème années) ; si tel n’était pas le cas, l’étudiant serait invité à trouver une équipe pédagogique plus adaptée et davantage en phase avec son projet dans un autre établissement, sur la base de recommandations de l’Esads. »
Démenti du 15 /02/10
« (…), pour y développer un travail singulier pendant 3 ou 5 ans, voire davantage.
Par ailleurs, la phase « projet » (4e et 5e années) dont chaque étudiant est invité à retirer le plus grand profit et dans l’espace de laquelle il sera amené à faire valoir sa capacité à l’autonomie et à approcher les réseaux choisis,
induit une disponibilité accrue et individualisée des enseignants. Il en va de même, pour le suivi de l’intégration professionnelle des diplômés dans les semestres qui suivront leur sortie de l’ESADS. »
Hypothèse sur le futur 2 :
Condition :
1 Tous ceux qui font Com en 2 ° année se retrouvent en Com en 3° années
2 L’école doit rester à un effectif constant de 400, ce qui est d’après le directeur la capacité maximum d’accueil de l’école
3 Les équivalences sont pris en 3° années
4 le nombre d’équivalent est de 18, le nombre trouvé dans la première hypothèse sur le futur,9 (4°) +9 (5°).
5 La sélection des étudiants ce fait en 3° années après le DNAP
Année 2 :
28 ( diviser strictement en 3 ateliers : 9,3)
Année 3 (DNAP) :
28 + 18 équivalents = 46 ( diviser strictement en 3 ateliers : 15,3)
Nombre de personnes virées après le DNAP : -18 personne
Année 4 :
28 ( diviser strictement en 3 ateliers : 9,3)
Année 5 (DNSEP) :
28( diviser strictement en 3 ateliers : 9,3)
_____
total 130
Hypothèse sur le futur 3 :
Condition :
1 Tous ceux qui font Com en 2 ° année,voudraient se retrouver en Com en 3° année, et donc reste dans l’école.
2 L’école doit rester à un effectif constant de 400, ce qui est d’après le directeur la capacité maximale d’accueil de l’école (à cause de l’infrastructure).
3 Les équivalences sont pris en 3° années et en 2° année
4 le nombre d’équivalent est de 18, le nombre trouvé dans la première hypothèse sur le futur, 9 (4°) +9 (5°).
5 La sélection des étudiants ce fait en 3°années après le DNAP, et par la force des choses en 2°année à cause la condition numéros 2.
Année 2 :
28 + 9 équivalents = 37 ( diviser strictement en 3 ateliers : 12,3)
Nombre de personnes virées en fin de 2°: - 9 personne
Année 3 (DNAP):
28 + 9 équivalents = 37 ( diviser strictement en 3 ateliers : 12,3)
Nombre de personnes virées en fin de 3°: - 9 personne
Année 4:
28 ( diviser strictement en 3 ateliers : 9,3)
Année 5 (DNSEP) :
28( diviser strictement en 3 ateliers : 9,3)
_____
total 130
adrien h 5eme année dv
Extrait du démenti du 15 /02/10
S’agissant de l’Ecole supérieure des arts décoratifs de Strasbourg et après étude du contexte budgétaire actuel et des contraintes spatiales, la proposition de la direction serait de stabiliser progressivement la totalité de l’effectif étudiant à 400 inscrits environ, entre la première et la cinquième année.
soit :
- 65 à 70 étudiants (maximum) en année 1
- 65 à 70 étudiants (maximum) en option Art, années 2 et 3 + années 4 et 5
- 130 à 140 étudiants (maximum) en option Communication, années 2 et 3 + années 4 et 5
- 65 à 70 étudiants (maximum) en option Design, années 2 et 3 + années 4 et 5
- 65 à 70 étudiants (maximum) en option Objet, années 2 et 3 + années 4 et 5
auxquels s’ajoutent les étudiants-stagiaires du CFPI – Centre de formation pour artistes intervenants (10 à15) et l’intégration, à moyen terme à partir de 2012, d’étudiants diplômés au grade de master qui souhaiteraient s’engager dans un troisième cycle.
Effectifs actuel :
- Année 1 : 70
- Année 2 : 70
- Communication (3,4,5) : 152
- Objet (3,4,5) 55
- Art (3,4,5) 69
- Design (3,4,5) 54
___
Total 470
Sans les étudiants du CFPI : 10 à 15
Effectif prévu d’après le démenti :
Fourchette basse :
65 + 65 + 130 + 65 + 65 + 10 du CFPI = 400 élèves ( chiffre qui nous à était présenté à 2 reprise comme maximum plutôt que comme un minimum)
Fourchette haute ( 400 environ ?) :
70+ 70 + 140 + 70 + 70 + 15 du CFPI = 435 élèves
Le « 400 environ » veut donc dire ici, à 35 près environ.
Quelle est la définition de environ ?
Effectifs prevu :
Dans le compte rendu du 5 / 01 / 10
Année 1 70 à 75
Communication (2,3 et 4,5) 130 dont 28 étudiants d’année 2
(moyenne sur les 4 dernières années)
Objet (2,3 et 4,5) 65 dont 22 étudiants d’année 2
(moyenne sur les 4 dernières années)
Art (2,3 et 4,5) 65 dont 12 étudiants d’année 2
(moyenne sur les 4 dernières années)
Design (2,3 et 4,5) 65 dont 15 étudiants d’année 2
(moyenne sur les 4 dernières années)
________
Total 400 environ
Projection à partir du compte rendu du 5 / 01 / 10 en incluant le démenti du 15/02/10
Année 1: 65
Communication (2,3 et 4,5) 130 dont 28 étudiants d’année 2
(moyenne sur les 4 dernières années)
Objet (2,3 et 4,5) 65 dont 22 étudiants d’année 2
(moyenne sur les 4 dernières années)
Art (2,3 et 4,5) 65 dont 12 étudiants d’année 2
(moyenne sur les 4 dernières années)
Design (2,3 et 4,5) 65 dont 15 étudiants d’année 2
(moyenne sur les 4 dernières années)
CFPI 10
________
Total 400
ECHANGE ( extrait du compte rendu du 05/01/10 signé par le directeur et des délégués élèves)
« Les intégrations en cours de cursus par voie d’équivalence ou d’admission en 2ème et 4ème années seront plus limitées pour toutes les options. »
Extrait du démenti du 15 /02/10
L’option Communication aurait donc à maîtriser un effectif de l’ordre du double de celui qu’aurait à accompagner chacune des autres options : soit 130 à 140 étudiants de l’année 2 à l’année 5.
Sur l’effectif de l’option communication (avant après)
Aujourd’hui
- 152 (3°,4°,5°) + 28 (2°) = 180 étudiants
demain
- 102 (3°,4°,5°) + 28 ( 2°) = 130 étudiants
pour info :
Cet année en 3 eme années : 20 en illustration, 18 en communication graphique et 13 en didactique
soit 51 en communication en com année 3
Hypothèse sur le futur 1
Condition :
1 Tout ceux qui font Com en 2 ° année se retrouvent en Com en 3° années.
2 L’école doit rester à un effectif constant de 400, ce qui est d’après le directeur la capacité maximum d’accueil de l’école
130 – (28 (2°) + 28 °( 3°)) = 74
74 / 2 (4°+5°) = 37
Année 2 :
28 ( diviser strictement en 3 ateliers : 9,3)
Année 3 (DNAP) :
28 ( diviser strictement en 3 ateliers : 9,3)
Année 4 :
37 ( diviser strictement en 3 ateliers : 12,3)
Année 5 (DNSEP) :
37 ( diviser strictement en 3 ateliers : 12,3)
_____
total 130
Donc il faudrait prendre 9 élève en équivalence pour la 4° années chaque années .
Ce qui selon le compte rendu du 05 /O1 /10 n’est pas trop à l’ordre du jour :
« Les intégrations en cours de cursus par voie d’équivalence ou d’admission en 2ème et 4ème années seront plus limitées pour toutes les options. »
La deuxieme chose est la plus grande sélection voulue après le DNAP :
Sur le compte rendu de la réunion du 05 / 01 /10
L’étudiant en fin de « phase programme » (fin de 3ème année, une fois obtenu son DNAP) devra présenter des indices sur ce qu’il propose de développer en « phase projet » ; c’est à ce moment que serait décidé si le projet de l’étudiant peut être mené dans les meilleures conditions à l’ESADS (en 4ème et 5ème années) ; si tel n’était pas le cas, l’étudiant serait invité à trouver une équipe pédagogique plus adaptée et davantage en phase avec son projet dans un autre établissement, sur la base de recommandations de l’Esads. »
Démenti du 15 /02/10
« (…), pour y développer un travail singulier pendant 3 ou 5 ans, voire davantage.
Par ailleurs, la phase « projet » (4e et 5e années) dont chaque étudiant est invité à retirer le plus grand profit et dans l’espace de laquelle il sera amené à faire valoir sa capacité à l’autonomie et à approcher les réseaux choisis,
induit une disponibilité accrue et individualisée des enseignants. Il en va de même, pour le suivi de l’intégration professionnelle des diplômés dans les semestres qui suivront leur sortie de l’ESADS. »
Hypothèse sur le futur 2 :
Condition :
1 Tous ceux qui font Com en 2 ° année se retrouvent en Com en 3° années
2 L’école doit rester à un effectif constant de 400, ce qui est d’après le directeur la capacité maximum d’accueil de l’école
3 Les équivalences sont pris en 3° années
4 le nombre d’équivalent est de 18, le nombre trouvé dans la première hypothèse sur le futur,9 (4°) +9 (5°).
5 La sélection des étudiants ce fait en 3° années après le DNAP
Année 2 :
28 ( diviser strictement en 3 ateliers : 9,3)
Année 3 (DNAP) :
28 + 18 équivalents = 46 ( diviser strictement en 3 ateliers : 15,3)
Nombre de personnes virées après le DNAP : -18 personne
Année 4 :
28 ( diviser strictement en 3 ateliers : 9,3)
Année 5 (DNSEP) :
28( diviser strictement en 3 ateliers : 9,3)
_____
total 130
Hypothèse sur le futur 3 :
Condition :
1 Tous ceux qui font Com en 2 ° année,voudraient se retrouver en Com en 3° année, et donc reste dans l’école.
2 L’école doit rester à un effectif constant de 400, ce qui est d’après le directeur la capacité maximale d’accueil de l’école (à cause de l’infrastructure).
3 Les équivalences sont pris en 3° années et en 2° année
4 le nombre d’équivalent est de 18, le nombre trouvé dans la première hypothèse sur le futur, 9 (4°) +9 (5°).
5 La sélection des étudiants ce fait en 3°années après le DNAP, et par la force des choses en 2°année à cause la condition numéros 2.
Année 2 :
28 + 9 équivalents = 37 ( diviser strictement en 3 ateliers : 12,3)
Nombre de personnes virées en fin de 2°: - 9 personne
Année 3 (DNAP):
28 + 9 équivalents = 37 ( diviser strictement en 3 ateliers : 12,3)
Nombre de personnes virées en fin de 3°: - 9 personne
Année 4:
28 ( diviser strictement en 3 ateliers : 9,3)
Année 5 (DNSEP) :
28( diviser strictement en 3 ateliers : 9,3)
_____
total 130
adrien h 5eme année dv
lundi 22 février 2010
Communiqué de la direction.
Voilà le mot de la direction, accompagné d'une suite de faits et chiffres.
Il ne s'agit pas de faire de la visibilité mais bien de se montrer à l'écoute.
Je prend donc l'initiative, et comme certains l'ont demandé auparavant, de publier ici le lien renvoyant au site de l'ESADS.
Mot de la direction :
http://www.esad-stg.org/presentation/direction.html
Jérôme 3e illus
Il ne s'agit pas de faire de la visibilité mais bien de se montrer à l'écoute.
Je prend donc l'initiative, et comme certains l'ont demandé auparavant, de publier ici le lien renvoyant au site de l'ESADS.
Mot de la direction :
http://www.esad-stg.org/presentation/direction.html
Jérôme 3e illus
jeudi 18 février 2010
Message de la pétition de Anne Busser
J’ai tardé à signer cette pétition car je ne suis pas vraiment d’accord avec certains termes. Cependant, devant le blocage de la situation, je m’y décide. Mais je voudrais dire que nous nous trouvons dans une situation absurde et triste : chacun, directeur compris, est animé de bonnes intentions.
Contrairement à ce qui est dit, OT n'a pas pour intention de couler la com. Il est persuadé que sa réforme n'aura pas les conséquences redoutables annoncées, et que la com s'en sortira très bien ; argument : dans d'autres écoles ça marche, donc ça peut marcher aussi à Strasbourg, vous avez seulement peur de changer vos habitudes de travail. Il en est persuadé, malheureusement sans avoir pris le temps d’observer et de comprendre la pédagogie spécifique pratiquée (avec succès) par les enseignants de l’option (dans les autres options, pour aller vite, la pédagogie est centrée sur le projet de l’étudiant, alors qu’en com c’est une pédagogie d’exercices, du moins durant les premières années).
Notre directeur est frappé par la maladie qui sévit actuellement, assez répandue dans les sphères dirigeantes de la société française, le management à l'anglo-saxonne, mais mal digéré, à savoir : décider à priori, sur des bases théoriques et idéologiques, sans écouter ceux qui sont sur le terrain, après avoir fait semblant de consulter pour faire avaler la sauce, et considérer les hommes comme des objets, soumis à la logique des chiffres et des statistiques. Le terme ressources humaines a d’ailleurs depuis un certain temps remplacé celui de personnel, c'est assez révélateur de cet état d'esprit.
Par ailleurs je pense que pour comprendre la logique du directeur, il faut resituer ses projets dans le contexte de la réforme des enseignements supérieurs et de ses cascades de conséquences. L’école doit devenir un EPCC à moyens constants, il veut donc réduire la voilure et raccourcir la durée des études pour le plus grand nombre. C’est ce qu’il appelle la professionalisation du DNAP, et pour cela il a besoin de renforcer les équipes enseignantes qui s’occuperont de ces étudiants. Comme il y aura moins d’étudiants autorisés à continuer jusqu’au DNSEP, ceux-ci auront besoin de moins d’enseignants. Imparable. Sauf que les étudiants ont déjà passé un concours d’entrée extrêmement sélectif, et que la perspective d’une deuxième sélection va induire un état d’esprit déplorable.
À mon avis, c’est sur la réforme des enseignements supérieurs qu’il faudrait se mobiliser d’urgence. Cette réforme appliquée aux écoles d’art risque de fragiliser, et à terme de conduire à la disparition de la plupart des écoles d’art en France. En effet, il va falloir, après la prise d’autonomie des écoles constituées en EPCC, trouver des financements et se soumettre tous les quatre ans à l’évaluation de l’AERES, « machin » composé d’ « experts » qui aura tout pouvoir pour décider ou non d’accorder, pour chaque DNSEP, la reconnaissance au grade de master. Cette réforme va contraindre les écoles à s’aligner sur les critères universitaires, et donc à terme leur existence ne se justifiera plus.
Anne Busser
professeur à l'ESADS
Contrairement à ce qui est dit, OT n'a pas pour intention de couler la com. Il est persuadé que sa réforme n'aura pas les conséquences redoutables annoncées, et que la com s'en sortira très bien ; argument : dans d'autres écoles ça marche, donc ça peut marcher aussi à Strasbourg, vous avez seulement peur de changer vos habitudes de travail. Il en est persuadé, malheureusement sans avoir pris le temps d’observer et de comprendre la pédagogie spécifique pratiquée (avec succès) par les enseignants de l’option (dans les autres options, pour aller vite, la pédagogie est centrée sur le projet de l’étudiant, alors qu’en com c’est une pédagogie d’exercices, du moins durant les premières années).
Notre directeur est frappé par la maladie qui sévit actuellement, assez répandue dans les sphères dirigeantes de la société française, le management à l'anglo-saxonne, mais mal digéré, à savoir : décider à priori, sur des bases théoriques et idéologiques, sans écouter ceux qui sont sur le terrain, après avoir fait semblant de consulter pour faire avaler la sauce, et considérer les hommes comme des objets, soumis à la logique des chiffres et des statistiques. Le terme ressources humaines a d’ailleurs depuis un certain temps remplacé celui de personnel, c'est assez révélateur de cet état d'esprit.
Par ailleurs je pense que pour comprendre la logique du directeur, il faut resituer ses projets dans le contexte de la réforme des enseignements supérieurs et de ses cascades de conséquences. L’école doit devenir un EPCC à moyens constants, il veut donc réduire la voilure et raccourcir la durée des études pour le plus grand nombre. C’est ce qu’il appelle la professionalisation du DNAP, et pour cela il a besoin de renforcer les équipes enseignantes qui s’occuperont de ces étudiants. Comme il y aura moins d’étudiants autorisés à continuer jusqu’au DNSEP, ceux-ci auront besoin de moins d’enseignants. Imparable. Sauf que les étudiants ont déjà passé un concours d’entrée extrêmement sélectif, et que la perspective d’une deuxième sélection va induire un état d’esprit déplorable.
À mon avis, c’est sur la réforme des enseignements supérieurs qu’il faudrait se mobiliser d’urgence. Cette réforme appliquée aux écoles d’art risque de fragiliser, et à terme de conduire à la disparition de la plupart des écoles d’art en France. En effet, il va falloir, après la prise d’autonomie des écoles constituées en EPCC, trouver des financements et se soumettre tous les quatre ans à l’évaluation de l’AERES, « machin » composé d’ « experts » qui aura tout pouvoir pour décider ou non d’accorder, pour chaque DNSEP, la reconnaissance au grade de master. Cette réforme va contraindre les écoles à s’aligner sur les critères universitaires, et donc à terme leur existence ne se justifiera plus.
Anne Busser
professeur à l'ESADS
mercredi 17 février 2010
mardi 16 février 2010
vendredi 12 février 2010
Une référence pour le Workshop
Trouvée sur le site des Formes vives.
Journal des Arts déco (de Paris)
Durant douze numéros, d’octobre à décembre 2007, avec de nombreux amis et contributeurs, nous éditons et diffusons un journal des Arts déco. Il s’agit d’un fanzine entièrement indépendant de l’école (imprimé à l’extérieur) bien qu’uniquement diffusé dans son enceinte, nourri par une multitude de sujets, du politique à l’humoristique, de la vie de l’école à l’actualité sociale, de la poésie au pamphlet. Le tout servi en texte et, bien sûr, images. L’entreprise milite pour le travail collectif : des élèves d’années et de sections se rencontrent et participent.
Chaque semaine le journal revêt une forme différente, expérimentant les pliages de feuilles A4 et A3. Nous fabriquons 300 exemplaires, les vendons prix libre, à la criée, le lundi.
12 novembre 2007. Cette semaine nous lançons fronde contre notre directeur que nous tenons en partie responsable du marasme dans lequel s’entretient notre école.
10 décembre 2007. Suite à un nouvel accrochage irrationnel entre la directrice technique et des élèves, nous nous sommes énervés et avons ouvertement pilonnés celles et ceux qui rêvent d’une école sans élèves, sans vie.
Journal des Arts déco (de Paris)
Durant douze numéros, d’octobre à décembre 2007, avec de nombreux amis et contributeurs, nous éditons et diffusons un journal des Arts déco. Il s’agit d’un fanzine entièrement indépendant de l’école (imprimé à l’extérieur) bien qu’uniquement diffusé dans son enceinte, nourri par une multitude de sujets, du politique à l’humoristique, de la vie de l’école à l’actualité sociale, de la poésie au pamphlet. Le tout servi en texte et, bien sûr, images. L’entreprise milite pour le travail collectif : des élèves d’années et de sections se rencontrent et participent.
Chaque semaine le journal revêt une forme différente, expérimentant les pliages de feuilles A4 et A3. Nous fabriquons 300 exemplaires, les vendons prix libre, à la criée, le lundi.
12 novembre 2007. Cette semaine nous lançons fronde contre notre directeur que nous tenons en partie responsable du marasme dans lequel s’entretient notre école.
10 décembre 2007. Suite à un nouvel accrochage irrationnel entre la directrice technique et des élèves, nous nous sommes énervés et avons ouvertement pilonnés celles et ceux qui rêvent d’une école sans élèves, sans vie.
Une lettre de Claude Lapointe
Claude Lapointe
Auteur illustrateur, enseignant
Lettre ouverte à monsieur Otto Teichert
Directeur de l’Ecole Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg, 1er février 2010
Monsieur le Directeur,
Je viens de recevoir, via les Etats Unis, transmise par Etienne Délessert, auteur-illustrateur de grand renom, une information alarmante sur l’avenir de l’atelier d’illustration de Strasbourg, que j’ai créé et qui aujourd’hui, sous la conduite de Guillaume Dégé, grâce à son rayonnement, continue d’attirer les meilleurs jeunes scénaristes, auteurs, illustrateurs.
Il paraît évident que toute l’option Communication est étouffée par votre projet qui l’exclut de ses perspectives. Cette option, en plus de l’illustration, propose la Communication graphique, la Didactique Visuelle, atelier unique en Europe, une autre spécificité rare et indiscutable de l‘École de Strasbourg.
En 2005, quand j’ai quitté l’école, l’atelier d’illustration réunissait entre 70 et 80 étudiants, venus de tous les coins de l’hexagone et de l’étranger. Je ne l’ai jamais vécu comme un surnombre. Les échanges, en plus de la formation adaptée à cette taille, étaient d’une richesse exceptionnelle.Réduire considérablement le nombre des étudiants devient de l’élitisme.
Du gâchis pour les centaines qui n’entreront pas.
Ce n’est pas en réduisant le nombre des étudiants qu’on se rapproche d’une formation universitaire ! On s’en éloignerait plutôt à grands pas.
Cette spécificité de l’illustration à Strasbourg, qui en réalité n’est pas une singularité, mais un art plus fort et contemporain que jamais, puisant dans la littérature, le théâtre, le cinéma, le dessin animé, les arts plastiques, ne peut pas disparaître de la Ville qui est citée, reconnue à travers cet art à part entière.
Une singularité est toujours une qualité d’école. Surtout celle d’une école d’art.
Elle peut se maintenir quelques soient les structures, à condition qu’il y ait l’intention de la garder.
Ignorez-vous à ce point que des centaines de jeunes en France, en Europe préparent en ce moment en illustration, en didactique, leur cursus d’études, leur chemin de vie, avec Strasbourg comme aboutissement ?
Je suis consulté régulièrement par des postulants convaincus et enthousiastes.
Je viens d’en rencontrer une demi-douzaine, cette semaine.
Est-ce possible que dorénavant, je sois obligé de leur dire :
« L’illustration à Strasbourg, c’est terminé!
par la volonté d’un seul homme: Otto Teichert ! » ?
Voulez-vous porter cette responsabilité ?
En espérant vous voir réfléchir à cette situation insensée.
Avec mes salutations
Claude Lapointe
Auteur, illustrateur, enseignant,
entre autre Chevalier des Arts et des Lettres pour, en partie, avoir créé l’Atelier d’Illustration
Copie pour information à :
- Instances régionales
- Presse régionale quotidienne hebdomadaire et mensuelle
- Editeurs : Gallimard, Grasset, Actes Sud, Bayard Presse, + une vingtaine d’éditeurs
- Salons de Montreuil, Angoulème, Bologne (Italie)
- Sites concernant les illustrateurs
- UNPI (Union Nationale des Peintres Illustrateurs)
- CRILJ
- Centre National des Lettres + JPL
( les passages en gras et italique sont pareils sur le document )
Auteur illustrateur, enseignant
Lettre ouverte à monsieur Otto Teichert
Directeur de l’Ecole Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg, 1er février 2010
Monsieur le Directeur,
Je viens de recevoir, via les Etats Unis, transmise par Etienne Délessert, auteur-illustrateur de grand renom, une information alarmante sur l’avenir de l’atelier d’illustration de Strasbourg, que j’ai créé et qui aujourd’hui, sous la conduite de Guillaume Dégé, grâce à son rayonnement, continue d’attirer les meilleurs jeunes scénaristes, auteurs, illustrateurs.
Il paraît évident que toute l’option Communication est étouffée par votre projet qui l’exclut de ses perspectives. Cette option, en plus de l’illustration, propose la Communication graphique, la Didactique Visuelle, atelier unique en Europe, une autre spécificité rare et indiscutable de l‘École de Strasbourg.
En 2005, quand j’ai quitté l’école, l’atelier d’illustration réunissait entre 70 et 80 étudiants, venus de tous les coins de l’hexagone et de l’étranger. Je ne l’ai jamais vécu comme un surnombre. Les échanges, en plus de la formation adaptée à cette taille, étaient d’une richesse exceptionnelle.Réduire considérablement le nombre des étudiants devient de l’élitisme.
Du gâchis pour les centaines qui n’entreront pas.
Ce n’est pas en réduisant le nombre des étudiants qu’on se rapproche d’une formation universitaire ! On s’en éloignerait plutôt à grands pas.
Cette spécificité de l’illustration à Strasbourg, qui en réalité n’est pas une singularité, mais un art plus fort et contemporain que jamais, puisant dans la littérature, le théâtre, le cinéma, le dessin animé, les arts plastiques, ne peut pas disparaître de la Ville qui est citée, reconnue à travers cet art à part entière.
Une singularité est toujours une qualité d’école. Surtout celle d’une école d’art.
Elle peut se maintenir quelques soient les structures, à condition qu’il y ait l’intention de la garder.
Ignorez-vous à ce point que des centaines de jeunes en France, en Europe préparent en ce moment en illustration, en didactique, leur cursus d’études, leur chemin de vie, avec Strasbourg comme aboutissement ?
Je suis consulté régulièrement par des postulants convaincus et enthousiastes.
Je viens d’en rencontrer une demi-douzaine, cette semaine.
Est-ce possible que dorénavant, je sois obligé de leur dire :
« L’illustration à Strasbourg, c’est terminé!
par la volonté d’un seul homme: Otto Teichert ! » ?
Voulez-vous porter cette responsabilité ?
En espérant vous voir réfléchir à cette situation insensée.
Avec mes salutations
Claude Lapointe
Auteur, illustrateur, enseignant,
entre autre Chevalier des Arts et des Lettres pour, en partie, avoir créé l’Atelier d’Illustration
Copie pour information à :
- Instances régionales
- Presse régionale quotidienne hebdomadaire et mensuelle
- Editeurs : Gallimard, Grasset, Actes Sud, Bayard Presse, + une vingtaine d’éditeurs
- Salons de Montreuil, Angoulème, Bologne (Italie)
- Sites concernant les illustrateurs
- UNPI (Union Nationale des Peintres Illustrateurs)
- CRILJ
- Centre National des Lettres + JPL
( les passages en gras et italique sont pareils sur le document )
jeudi 11 février 2010
WORKSHOP inter-option
OÙ ALLONS-NOUS ? (titre provisoire)
La semaine du 2 au 5 mars sera une semaine de réflexion et d’action tournée vers l’extérieur.
Quelques hypothèses de travail :
– Quelle école voulons-nous ?
– Dans quel contexte plus général se posent les actuelles propositions de réformes ?
– Dans quelle réalité (professionnelle, sociale…) s’inscrivent nos métiers ?
…
Quelques pistes d’action :
– Workshops dont le résultat pourrait être exposé.
– Publications (affiches, fanzines, blogs…).
– Concerts.
– Invitations d’établissements qui adossent leurs formations sur nos ateliers
– Réponse au concours d'affiches de Chaumont "Le graphisme, qu'est ce que c'est ?"
…
Cette semaine résolument transversale sera gérée et organisée par toutes et de tous : étudiants, techniciens (TEA), enseignants.
Que chacun réfléchisse à des actions collectives et/ou individuelles ainsi qu’aux modalités pratiques d’organisation.
Le jeudi 25 février à 12 h, une assemblée générale est prévue à l'étage Didactique Visuelle/Illustration.
Un pré-programme sera communiqué aux médias au sortir de cette AG puis relayé par le biais d'affichages dans la ville et sur Internet.
Afin de nous organiser au mieux, nous vous proposons d'envoyer vos idées détaillées par mail avant la rentrée
à l'adresse suivante : ouallonsnous@laposte.net
Bonnes vacances à tous.
Faites le plein d’énergie.
Les enseignants de l'option communication
Pierre di Sciullo démissionne
Voici un extrait de la lettre de démission que Pierre di Sciullo a envoyé au directeur de l'Esads.
« Monsieur le directeur,
[...] la transversalité, je n'en parle pas mais je la pratique, professionnellement et pédagogiquement. [...] L'opposition entre art et graphisme, je laisse cela aux ringards et aux incultes. Cette conviction de l'enrichissement mutuel des pratiques est partagée dans cette école par ceux qui voient plus loin que le bout de leur nez.
[...]
Je résume vos intentions pour cette section : diminuer de près d'un tiers le nombre d'étudiants, réduire considérablement les heures de chargés de cours, tarir les entrées d'étudiants en équivalence.
[...] Tout le monde s'interroge sur vos motivations, pourquoi vous entreprenez une telle saignée, nuisible pour l'ensemble de l'école. Car en vue de l'EPCC, les filières professionnalisantes sont particulièrement structurées en comm. La recherche aussi. Nos anciens étudiants d'illustration, de didactique et de graphisme, je les rencontre partout dans le milieu professionnel. Une majorité des candidats qui se présentent à notre concours d'entrée souhaitent entrer en comm, afflux qui irrigue la totalité de l'école. Comment croyez-vous qu'ils vont réagir en apprenant que les places seraient drastiquement réduites à Strasbourg, au moment où les autres écoles, tout au contraire s'efforcent d'augmenter leur capacité d'accueil ?
A la mairie de Strasbourg et au ministère de la Culture, on se défend d'une quelconque restriction budgétaire.
C'est pourquoi, Monsieur le directeur, vos projets pour l'option comm suscitent l'incompréhension et la colère parmi nombre d'enseignants et d'étudiants. Vous a-t-on conseillé ? Je doute alors que ce soit dans le souci de l'intérêt général.
[...] Le décalage entre notre réputation nationale et les conditions concrètes d'enseignement, est saisissant : locaux vétustes et exigus, pas de pôle impression dans le bâtiment, absence de connexion internet (on croit rêver...).
La possibilité d'inviter des intervenants extérieurs (conférenciers, workshops) pour la comm est en régulière régression depuis 3 ans.
Je ne peux cautionner cette dérive et c'est pourquoi je vous présente ma démission. J'honorerai bien entendu mon contrat jusqu'à son terme qui est l'année scolaire en cours.
je vous prie d'agréer, Monsieur le directeur, l'expression de mes salutations distinguées »
Pierre di Sciullo
« Monsieur le directeur,
[...] la transversalité, je n'en parle pas mais je la pratique, professionnellement et pédagogiquement. [...] L'opposition entre art et graphisme, je laisse cela aux ringards et aux incultes. Cette conviction de l'enrichissement mutuel des pratiques est partagée dans cette école par ceux qui voient plus loin que le bout de leur nez.
[...]
Je résume vos intentions pour cette section : diminuer de près d'un tiers le nombre d'étudiants, réduire considérablement les heures de chargés de cours, tarir les entrées d'étudiants en équivalence.
[...] Tout le monde s'interroge sur vos motivations, pourquoi vous entreprenez une telle saignée, nuisible pour l'ensemble de l'école. Car en vue de l'EPCC, les filières professionnalisantes sont particulièrement structurées en comm. La recherche aussi. Nos anciens étudiants d'illustration, de didactique et de graphisme, je les rencontre partout dans le milieu professionnel. Une majorité des candidats qui se présentent à notre concours d'entrée souhaitent entrer en comm, afflux qui irrigue la totalité de l'école. Comment croyez-vous qu'ils vont réagir en apprenant que les places seraient drastiquement réduites à Strasbourg, au moment où les autres écoles, tout au contraire s'efforcent d'augmenter leur capacité d'accueil ?
A la mairie de Strasbourg et au ministère de la Culture, on se défend d'une quelconque restriction budgétaire.
C'est pourquoi, Monsieur le directeur, vos projets pour l'option comm suscitent l'incompréhension et la colère parmi nombre d'enseignants et d'étudiants. Vous a-t-on conseillé ? Je doute alors que ce soit dans le souci de l'intérêt général.
[...] Le décalage entre notre réputation nationale et les conditions concrètes d'enseignement, est saisissant : locaux vétustes et exigus, pas de pôle impression dans le bâtiment, absence de connexion internet (on croit rêver...).
La possibilité d'inviter des intervenants extérieurs (conférenciers, workshops) pour la comm est en régulière régression depuis 3 ans.
Je ne peux cautionner cette dérive et c'est pourquoi je vous présente ma démission. J'honorerai bien entendu mon contrat jusqu'à son terme qui est l'année scolaire en cours.
je vous prie d'agréer, Monsieur le directeur, l'expression de mes salutations distinguées »
Pierre di Sciullo
mercredi 10 février 2010
un moment délicieux
Deux 1er prix au 37è Festival International de la BD d'Angoulême pour
l'École supérieure des arts décoratifs de Strasbourg.
Guillaume Chauchat 1er lauréat - «Le bleu du mystérieux étui à guitare» (BD) - ainsi que Léo Maret, 2ème lauréat - «J'ai la gueule qui pousse» BD - ont été sélectionnés par le jury du concours Jeunes talents, composé de professionnels de la BD, des éditions et de la presse.
Parmi les vingt sélectionnés Jeunes Talents figurent également six autres illustrateurs de l'École supérieure des arts décoratifs de Strasbourg, certains encore étudiants, d'autres déjà professionnels.
Les deux 1er lauréats suivent les traces de Clément Paurd qui, illustrateur en fin d'étude, avait remporté le premier prix en 2009 et s'est vu confié cette année la communication visuelle du pavillon «Jeunes Talents».
Tous trois, diplômés en 2009 de l'atelier d'illustration de l'ESADS, participent à la conception et la réalisation de la revue Belles illustrations *, aventure collective en BD et illustration dont la parution du n°3 a coïncidé avec le festival d'Angoulême 2010.
Véritable Institution, le Festival de la BD d'Angoulême, en 2010 sous la présidence de Blutch, est devenu au fil des ans un rendez-vous incontournable de tous les amoureux du 9è art, bédéphiles et autres «bédéphages».
* www.bellesillustrations.com
chauchat.ultra-book.com
Guillaume Chauchat 1er lauréat - «Le bleu du mystérieux étui à guitare» (BD) - ainsi que Léo Maret, 2ème lauréat - «J'ai la gueule qui pousse» BD - ont été sélectionnés par le jury du concours Jeunes talents, composé de professionnels de la BD, des éditions et de la presse.
Parmi les vingt sélectionnés Jeunes Talents figurent également six autres illustrateurs de l'École supérieure des arts décoratifs de Strasbourg, certains encore étudiants, d'autres déjà professionnels.
Les deux 1er lauréats suivent les traces de Clément Paurd qui, illustrateur en fin d'étude, avait remporté le premier prix en 2009 et s'est vu confié cette année la communication visuelle du pavillon «Jeunes Talents».
Tous trois, diplômés en 2009 de l'atelier d'illustration de l'ESADS, participent à la conception et la réalisation de la revue Belles illustrations *, aventure collective en BD et illustration dont la parution du n°3 a coïncidé avec le festival d'Angoulême 2010.
Véritable Institution, le Festival de la BD d'Angoulême, en 2010 sous la présidence de Blutch, est devenu au fil des ans un rendez-vous incontournable de tous les amoureux du 9è art, bédéphiles et autres «bédéphages».
* www.bellesillustrations.com
chauchat.ultra-book.com
lundi 8 février 2010
Une juste reponse aux commentaires qui ont " fleuri" sur le blog
Il n'y a pas de prouesses techniques ou esthétiques à voir sur ce blog, pas de jolis dessins à admirer. ET C'EST NORMAL!
Chacun s'empare du sujet à sa manière, avec humour ou colère (on a pas tous le même humour, moi j'aime bcp le détournement d'images), dans la plus pure SUBJECTIVITÉ, dictée par l'URGENCE de cette affaire.
Ceux qui veulent réellement voir à quel point cette section est bourrée de talents n'ont qu'à faire le tour des sites et blogs d'étudiants (bcp de liens dans la pétition).
Très bizarres, ces attaques aigries qui ne font que déstabiliser une cause très légitime, celle d'étudiants voulant défendre un savoir et un lieu de liberté qu'est pour l'instant l'ESAD et la section com.
Enfin, je pense que les mesquineries qu'on peut écrire sous couvert d'anonymat dans les commentaires d'un blog ne suffiraient pas à salir l'image du débat qui secoue l'école et celle des étudiants eux-mêmes. Et fort heureusement.
On ne signe pas de CDI en sortant d'école d'art. On n'attend pas d'offres de CDI des signataires de la pétiton, mais du soutien.
Notre formation nous permet bien souvent d'être indépendants, auteurs, créateurs et plasticiens. Et on se bat justement pour garder cette indépendance en gardant le niveau de qualité qu'a notre section aujourd'hui.
Polina, étudiante en 5e année illustration
Chacun s'empare du sujet à sa manière, avec humour ou colère (on a pas tous le même humour, moi j'aime bcp le détournement d'images), dans la plus pure SUBJECTIVITÉ, dictée par l'URGENCE de cette affaire.
Ceux qui veulent réellement voir à quel point cette section est bourrée de talents n'ont qu'à faire le tour des sites et blogs d'étudiants (bcp de liens dans la pétition).
Très bizarres, ces attaques aigries qui ne font que déstabiliser une cause très légitime, celle d'étudiants voulant défendre un savoir et un lieu de liberté qu'est pour l'instant l'ESAD et la section com.
Enfin, je pense que les mesquineries qu'on peut écrire sous couvert d'anonymat dans les commentaires d'un blog ne suffiraient pas à salir l'image du débat qui secoue l'école et celle des étudiants eux-mêmes. Et fort heureusement.
On ne signe pas de CDI en sortant d'école d'art. On n'attend pas d'offres de CDI des signataires de la pétiton, mais du soutien.
Notre formation nous permet bien souvent d'être indépendants, auteurs, créateurs et plasticiens. Et on se bat justement pour garder cette indépendance en gardant le niveau de qualité qu'a notre section aujourd'hui.
Polina, étudiante en 5e année illustration
samedi 6 février 2010
jeudi 4 février 2010
mardi 2 février 2010
Compte-rendu de la réunion avec le directeur du 05 / 01 / 10
Ce compte rendu est en ce moment sur le bureau du directeur, pour relecture et correction de sa part, dans l'optique d'une cosignature, dés que nous aurons la version final nous la publierons sur le blog
Présents à cette réunion :
Otto Teicher , directeur de l’ESAD
Nathanaël Tardif, DV3
Diane Boivin, CG 3
Adrien Honnons, DV5
Clara Markman, illustration 3
Solène Noël Dupont DV3
Clio Marotel, Art
Claire De Pimodan, Art
Ont été abordés les points suivants:
1. Ordre du jour et compte-rendu des CP
2. Professeurs (vacataires, statuts, rassemblements de postes)
3. Effectifs élèves (réduction, répartition), Phase projet / phase programme
4. Mémoire
5. Échéances des changements
6. Mulhouse et Conservatoire
-------------------------------------------------------------------------
1. Ordre du jour et compte-rendu des CP:
Le directeur a affirmé qu’une meilleure communication autour du Conseil pédagogique sera faite (date, ordre du jour et compte-rendu).
Il s’est engagé à faire en sorte que les délégués reçoivent l’ordre du jour avant la réunion.
Les comptes-rendus des CP sont à la disposition de tous les élèves au secrétariat sur demande.
2. Professeurs:
Le directeur a affirmé que le volume d’enseignement resterait inchangé, son désir est de créer des postes de titulaires dans l’optique d’un passage à un statut d’école indépendante. Ces postes de titulaires créés (postes à 16h) remplaceraient 3 postes de vacataires.
2 postes de titulaires créés en communication, un poste de professeur de théorie “colorée com” et un professeur titulaire de plus en didactique visuelle.
Son souhait pour les 2 postes de titulaire en communication se porte sur Vivien Philizot et Olivier Deloignon, celui-ci enseignerait aussi pour le reste de l’école.
Le volume d’enseignement resterait constant, mais une partie serait dispensée sous forme de workshop et de séminaire ouverts à tous les étudiants.
Le poste d’Henri Muller qui part à la retraite sera remplacé par un poste (équivalent en nombre d’heure), dont le profil est multimédia orienté animation.
3. Effectif élèves, équivalence, Phase projet / phase programme:
L’effectif élève total passerait environ de 470 à 400 étudiants, La réduction s’organise de telle manière, 60 étudiants de moins en communication, et 10 de moins en Art (tableau ci-dessous).
Les équivalences 25 élèves en 2e et 3e année, à partager entre toutes options, sachant qu’en fin de 3e année, l’effectif sera réduit de 25 élèves (tableau ci-dessous).
La scolarité serait réorganisée, passant de 3 ans d’option à 4 ans d’option, (arrivé en option en 2e année), à terme l’arrivée en option se fera en 1e année. (Tableau ci-dessous)
La réorganisation se porte sur 3 ans de phase programme (aboutissant au DNAP) , et 2 ans de phase projet (préparation au DNSEP).
L’étudiant en fin de phase programme (fin de la 3°) devra présenter un projet pour la phase projet, c’est à ce moment que serait décidé si le projet de l’étudiant justifie le passage en phase projet (4° et 5°), si tel n’était pas le cas, l’étudiant serait invité a trouver une pédagogie plus adaptée dans une autre école.
4. Mémoire:
Le projet à l’heure de la réunion n’avait pas été finalisé, mais le directeur a évoqué les pistes suivantes:
La forme du mémoire sera à priori définie par options dans le projet pédagogique.
Le mémoire serait noté non plus par le jury du DNSEP, mais par un jury à l’intérieur de l’école, la composition du jury n’est pas définie, mais au moins 1 doctorant devra en faire partie.
5. Échéances des changements:
La réduction des effectifs étudiants se fera sur 2 ans.
La promotion actuellement en 3e année (DNSEP 2012) ne sera aucunement touchée par la réduction d’effectif lors du passage en 4e et 5e année.
La promotion actuellement en 2e année (DNSEP 2013) sera soumise à une réduction d’effectifs lors du passage en quatrième année.
La promotion actuellement en 1e année (DNSEP 2014) devra intégrer définitivement les options dès le début de la deuxième année.
6. Mulhouse et Conservatoire
L’ESAD et l’école d’Art de Mulhouse vont s’associer sur le projet pour devenir un EPCC , à moyen terme il serait question de fusionner les moyens.
Une association avec le conservatoire de musique de Strasbourg dans l’EPCC a été évoquée pour un futur proche.
Présents à cette réunion :
Otto Teicher , directeur de l’ESAD
Nathanaël Tardif, DV3
Diane Boivin, CG 3
Adrien Honnons, DV5
Clara Markman, illustration 3
Solène Noël Dupont DV3
Clio Marotel, Art
Claire De Pimodan, Art
Ont été abordés les points suivants:
1. Ordre du jour et compte-rendu des CP
2. Professeurs (vacataires, statuts, rassemblements de postes)
3. Effectifs élèves (réduction, répartition), Phase projet / phase programme
4. Mémoire
5. Échéances des changements
6. Mulhouse et Conservatoire
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1. Ordre du jour et compte-rendu des CP:
Le directeur a affirmé qu’une meilleure communication autour du Conseil pédagogique sera faite (date, ordre du jour et compte-rendu).
Il s’est engagé à faire en sorte que les délégués reçoivent l’ordre du jour avant la réunion.
Les comptes-rendus des CP sont à la disposition de tous les élèves au secrétariat sur demande.
2. Professeurs:
Le directeur a affirmé que le volume d’enseignement resterait inchangé, son désir est de créer des postes de titulaires dans l’optique d’un passage à un statut d’école indépendante. Ces postes de titulaires créés (postes à 16h) remplaceraient 3 postes de vacataires.
2 postes de titulaires créés en communication, un poste de professeur de théorie “colorée com” et un professeur titulaire de plus en didactique visuelle.
Son souhait pour les 2 postes de titulaire en communication se porte sur Vivien Philizot et Olivier Deloignon, celui-ci enseignerait aussi pour le reste de l’école.
Le volume d’enseignement resterait constant, mais une partie serait dispensée sous forme de workshop et de séminaire ouverts à tous les étudiants.
Le poste d’Henri Muller qui part à la retraite sera remplacé par un poste (équivalent en nombre d’heure), dont le profil est multimédia orienté animation.
3. Effectif élèves, équivalence, Phase projet / phase programme:
L’effectif élève total passerait environ de 470 à 400 étudiants, La réduction s’organise de telle manière, 60 étudiants de moins en communication, et 10 de moins en Art (tableau ci-dessous).
Les équivalences 25 élèves en 2e et 3e année, à partager entre toutes options, sachant qu’en fin de 3e année, l’effectif sera réduit de 25 élèves (tableau ci-dessous).
La scolarité serait réorganisée, passant de 3 ans d’option à 4 ans d’option, (arrivé en option en 2e année), à terme l’arrivée en option se fera en 1e année. (Tableau ci-dessous)
La réorganisation se porte sur 3 ans de phase programme (aboutissant au DNAP) , et 2 ans de phase projet (préparation au DNSEP).
L’étudiant en fin de phase programme (fin de la 3°) devra présenter un projet pour la phase projet, c’est à ce moment que serait décidé si le projet de l’étudiant justifie le passage en phase projet (4° et 5°), si tel n’était pas le cas, l’étudiant serait invité a trouver une pédagogie plus adaptée dans une autre école.
4. Mémoire:
Le projet à l’heure de la réunion n’avait pas été finalisé, mais le directeur a évoqué les pistes suivantes:
La forme du mémoire sera à priori définie par options dans le projet pédagogique.
Le mémoire serait noté non plus par le jury du DNSEP, mais par un jury à l’intérieur de l’école, la composition du jury n’est pas définie, mais au moins 1 doctorant devra en faire partie.
5. Échéances des changements:
La réduction des effectifs étudiants se fera sur 2 ans.
La promotion actuellement en 3e année (DNSEP 2012) ne sera aucunement touchée par la réduction d’effectif lors du passage en 4e et 5e année.
La promotion actuellement en 2e année (DNSEP 2013) sera soumise à une réduction d’effectifs lors du passage en quatrième année.
La promotion actuellement en 1e année (DNSEP 2014) devra intégrer définitivement les options dès le début de la deuxième année.
6. Mulhouse et Conservatoire
L’ESAD et l’école d’Art de Mulhouse vont s’associer sur le projet pour devenir un EPCC , à moyen terme il serait question de fusionner les moyens.
Une association avec le conservatoire de musique de Strasbourg dans l’EPCC a été évoquée pour un futur proche.
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